Divers

Déménager, c’est plutôt chiant. Résilier les abonnements, lessiver les murs, reboucher les trous, faire le tri, reprendre des abonnements, faire le changement d’adresse. Le cortège des petites tâches administratives relous en somme. Mais parfois, il est plaisant de constater que certaines institutions y mettent du leur pour vous rendre la chose plus agréable.

Elle a pleuré

Encore ?

Mais cette fois ci, elle a pleuré de joie.

Sa vie est belle. Elle a de la chance. Elle est heureuse. Elle est amoureuse. Elle est en pleine santé. Elle a deux enfants dont elle est extrêmement fière. Elle a un boulot qu'elle aime et qui lui permet de vivre correctement. Elle fait les choses qui lui plaisent quand elle en a envie. Elle a des amis. Des vrais amis. Elle est libre. Elle a envie de vivre. Elle a plein de rêves.

Sa vie est belle.

Mi ombre mi lumière...
Tantôt dans la clarté tantôt dans la pénombre...
Elle sait sourire en pleurant...
Comme pleurer en souriant...
Vivre joie et mélancolie...
Faire preuve d'une gentillesse immodérée...
Comme d'une cruauté insatiable...
Aimer et détester à la fois...
Elle sait paraître calme alors que la rage la dévore...
Haïr et l'exprimer tout en restant sereine...
Et seules les personnes qui voient à travers le voile...
Ne se trompent jamais...
Car elles savent lire dans ses yeux...
La couleur de son âme.

Article de presse

L'AVIS DU PSY

Quelles sont les personnes touchées par cette absence de désir ?
Il existe deux catégories de personnes qui n’ont pas de vie sexuelle. Celles qui n’ont ni désir ni besoin, et celles qui au contraire refoulent leurs envies. Et la principale différence entre les deux, c’est que les premières peuvent être heureux et épanouis dans la mesure où on s’accepte et s’assume, alors que les secondes ne le seront pas du tout. Les premiers vont déplacer leur énergie sur autre chose. Alors que les seconds vont transformer leur frustration en aigreur ou en colère.

Comment explique-t-on l’absence de désir ?
Tout se passe à la période de latence. Entre 6 et 10 ans. C'est le moment où on cesse de s'intéresser à la sexualité (après avoir été très demandeur d'informations). Normalement, cette période "sans sexe" finit à l'adolescence. Mais chez certains, elle dure, parfois à vie. Soit chez les individus qui refusent de grandir, soit chez ceux qui ont peur de leurs fantasmes et, les jugeant immoraux, et préfèrent les nier.

Pourquoi ce phénomène émerge-t-il massivement ?
Le refus de la sexualité a toujours existé. Ce qui est nouveau, c'est de l'affirmer, le revendiquer. Aujourd’hui, la sexualité se consomme, se montre, s’exhibe. Elle prétend se vivre "librement" mais c’est un leurre. Et certains se construisent contre cette idée. Ils la trouvent trop déshumanisée.
A l’adolescence, cette absence de désir est compliquée à vivre. Certains garçons par exemple, parce qu’ils n’ont pas de désir pour les filles, se pensent homos même s’ils n’ont pas de désir pour les garçons. Ensuite, ils peuvent s’accomplir autrement et ils finissent par accepter l’idée. Mais il reste difficile de s'en vanter. Ces mouvements visant à encourager les "coming out" asexuels ont encore du pain sur la planche !

Hibernation

Y'a commencé à faire frais, donc j'ai sorti mes ptits bas chauds, mes "ptites laines", et ma grosse couverturepour me réchauffer la nuit.

Je m'endoooooooooooors. Je fais le chat toute la journée : je m'étire, je me tortille, je mange du chaud et puis je baille aux corneilles dès que le soleil se couche. Le soir je me prélasse dans un bon bain et puis je vais rejoindre ma couverture dès que je peux.

Si je pouvais, j'hibernerais. Pas de Nowel, pas de jour de l'an. Me réveiller au printemps dès que le soleil reviendra!

C'est bô de rêver hein ?

L'amour controversé

....ça vous choque vous ??? Moi pas !!!!
Chacun est libre de penser ce qu'il veut cela dit, mais je trouve que ce sont des choses qui ne nous regarde pas!!!....
Je connais des gays (pas de lesbiennes par contre), et je ne comprends pas les gens qui se permettent de dire que ces gens n'ont pas le droit à certaines choses......comme les enfants par exemple (grand débat là!! lol). Même si j'ai du mal à concevoir la famille homoparentale, je ne m'y "opposerais" pas (de quel droit d'abord??sous prétexte que je sois "normale", hétéro?)....tout simplement parce que je trouve que tant que les parents s'aiment......l'enfant sera bien!contrairement à certaines familles dites normales,où les enfants sont placés car les parents sont incapables d'élever leurs enfants correctement.

Et vous qu'en pensez-vous ??

Constatation

C'est dur couper les ponts avec quelqu'un. Plus que je ne le croyais.
Je pense tout le temps à ça depuis vendredi dernier.
J'ai des brûlures d'estomac, ma pression est dans le tapis (parce qu'elle l'est toujours quand je suis stressée et/ou en tabarnak).
Je dors, mais mal.

Pourtant, je ne me sens pas coupable, je ne regrette pas ma décision. Je la maintiens et je veux la maintenir.
Je ne reculerai pas. Même s'ils onttéléphoné 6 fois en deux jours, je ne réponds pas.
Je ne veux pas ouvrir la discussion. Je veux qu'ils sachent enfin ce que ça fait de se sentir comme de la merde aux yeux de quelqu'un....

***
La vie est dure parfois.